Créée en 2006 et reconnue d’utilité publique en 2009, la Fondation OMAR BONGO ONDIMBA pour la Paix, la Science, la Culture et l’Environnement s’engage à pérenniser l’œuvre d’OMAR BONGO ONDIMBA qui prônait le Dialogue la Tolérance et la Paix.
La Fondation OMAR BONGO ONDIMBA a son siège à Libreville à l’immeuble Diamant II Bâtiment B en face de CK2.
À travers son réseau, la FOBO veut :
Renforcer son ouverture sur le monde, vers les citoyens,
Encourager les projets pluridisciplinaires,
Créer des liens entre tous les acteurs qui œuvrent en faveur de la paix, la science, la culture et l’environnement donc avec les jeunes, les entreprises, les collectivités, les diplômés, les particuliers.
Au nom de la Fondation OMAR BONGO ONDIMBA, j’ai le plaisir de vous accueillir sur notre site.
Je suis fier de nos programmes qui viennent aider concrètement notre jeunesse à s’épanouir et à se réaliser. Chaque année, nous donnons généreusement parce que nous croyons en nos jeunes. Mais nos programmes dépendent de la générosité des gens, à commencer par vous, mes amis. D’où l’importance de s’unir !
La Fondation reconnaît aussi l’importance de resserrer les liens avec d’autres pays de la sous région en établissant des partenariats avec eux.
À titre d’exemple, la Création d’un Réseau Panafricain des Jeunes pour la Culture de la Paix.
Je vous invite donc à parcourir toutes les rubriques de notre site afin de découvrir l’importance de contribuer à la paix, Science, Culture et l’Environnement!
Création d’un prix international de la jeunesse pour la culture de la paix qui récompensera l’action de trois organisations de la jeunesse, qui se répartiront un montant de 45 millions CFA soit près de 85 000 USD.
Lancement officiel du Réseau « Jeunesse et culture de la paix » constitué par les Conseils de la jeunesse et des organisations de la jeunesse d’Afrique et de la diaspora, engagés dans des actions de promotion d’une culture de la paix, dont le Gabon accueillera le Secrétariat.
Organisation annuelle (en collaboration avec L’UNESCO) du concours national des science destiné aux lycéens des filières scientifiques (4 éditions du concours ont déjà été organisées et diffusées à travers tout le pays et à l’étranger par le biais des chaînes internationales, telles que Africable.)
Le Directeur de Bureau de l’UNESCO à Libreville, Mohammed Bachiri, a insisté sur la nécessité pour le Gabon de développer des ressources humaines de qualité, et plus particulièrement en science et technologie. « L’épine dorsale de la politique scientifique est l’enseignement des sciences », dit-il.
L’UNESCO apporte son soutien non seulement pour la conception de politiques scientifiques et éducatives pertinentes, mais aussi à la mise en œuvre d’initiatives nationales visant à mobiliser les jeunes, et en particulier les femmes, pour l’enseignement des sciences.
La Fondation OMAR BONGO ONDIMBA participe également à de nombreuses actions de sensibilisation et de communication destinées à un large public. Elle contribue à faire évoluer les comportements vers un plus grand respect de l’environnement.
L’éducation à l’environnement est indispensable pour servir les intérêts des générations futures. L’éducation à l’environnement, c’est apprendre à bien vivre dans un espace environnemental limité ; c’est régénérer les ressources naturelles vitales de manière à assurer une vie digne pour tous ; ou encore appliquer les droits humains aux ressources : si nous prenons ces droits au sérieux, nul n’a le droit (n’en déplaise à la rhétorique libertaire) de nuire à la survie d’autrui (quelque part dans le monde, ou à l’avenir) par une consommation exagérée de ressources.
Depuis la Conférence de Tbilissi en 1977, l’éducation à l’environnement considère comme centrale la question suivante : que devons-nous apprendre en tant qu’individus et sociétés, et comment, afin que les ressources fondamentales, dont nous dépendons pour le meilleur et pour le pire, ne soient pas détruites, mais préservées, voire régénérées ? Par la suite, ceci a été défini sous le terme d’éducation en vue d’un développement durable.
Cette ligne de conduite reste l’une des priorités et d’objectif central de la FOBO. Le défi consiste à élaborer des méthodes d’apprentissage et d’enseignement qui nous en rapprochent, c’est-à-dire qui favorisent un monde durable, de manière visible, tangible et perceptible.